Selon les dernières données de l’Organisation Mondiale du Commerce, les exportations mondiales ont atteint un niveau record en 2023, avec une croissance de 5,3%. Cette expansion fulgurante du commerce international a été rendue possible grâce à l’utilisation de divers outils d’exportation innovants. Ces outils, allant des plateformes numériques aux services logistiques avancés, ont permis aux entreprises de toutes tailles de franchir les frontières et d’atteindre de nouveaux marchés. Mais quels sont ces outils qui ont révolutionné le monde de l’exportation ? Retour sur les meilleurs outils pour l’export qui ont marqué l’année 2023.

Logiciels d’import-export : des outils cruciaux pour le commerce international

Les logiciels d’import-export sont des outils essentiels dans le domaine du négoce et du commerce international. Ils permettent de prévoir les arrivées et les envois de marchandises, de générer des factures et des devis, et assurent le suivi logistique et commercial. Parmi ces logiciels, on peut citer TRADE.EASY et Erplain, proposés par la plateforme spécialisée Appvizer. Ces logiciels sont évalués par des utilisateurs vérifiés et présentent des avantages indéniables tels que la sécurité, l’adaptabilité aux processus de l’entreprise, la richesse fonctionnelle de la gestion du stock, la facilité d’utilisation et des prix compétitifs.

Outils en ligne pour les exportateurs suisses

Pour les exportateurs suisses, il existe une panoplie d’outils en ligne qui leur permettent de s’aventurer sur les marchés étrangers. Parmi ces outils, on peut citer le GoGlobal Cockpit, un véritable couteau suisse gratuit proposé par Switzerland Global Enterprise. Ce dernier permet de comparer divers indicateurs clés des marchés cibles tels que le volume d’exportation potentiel, l’indice de la facilité de faire des affaires, le salaire moyen ou encore le taux de pénétration d’Internet. Une mine d’informations précieuses pour les exportateurs en herbe.

Ensuite, il y a Trademap, une base de données spécialisée qui fournit des informations sur les volumes d’importations et d’exportations par groupes de produits et pays. Un véritable trésor d’informations pour les exportateurs qui souhaitent connaître les tendances du marché et les opportunités à saisir.

Participation à des foires et recherche de partenaires

Pour ceux qui souhaitent participer à des foires et salons à l’étranger, la base de données foires et salons d’AUMA est un outil incontournable. Elle fournit des informations détaillées sur les événements à travers le monde, avec des statistiques et les coordonnées des organisateurs. De quoi préparer au mieux sa participation et maximiser les chances de succès.

L’Enterprise Europe Network, quant à lui, est un réseau de la Commission européenne qui met en relation les petites et moyennes entreprises à la recherche de coopérations innovantes. Grâce à ce réseau, les PME peuvent présenter leur profil d’entreprise et celui du partenaire recherché, facilitant ainsi les échanges et les collaborations fructueuses.

Pour trouver des partenaires potentiels, Zoominfo et LinkedIn Sales Navigator sont des outils indispensables. Ces bases de données regorgent d’informations sur les sociétés, permettant ainsi de trouver des partenaires adaptés à ses besoins.

pour trouver des spécialistes du commerce international, l’Expert Directory est l’outil idéal. Il permet de rechercher des experts par pays cible, secteur d’activité et type de service recherché. Une véritable mine d’or pour les exportateurs en quête de conseils et d’accompagnement.

Plateformes digitales pour l’expansion internationale

En complément des logiciels d’import-export et des outils en ligne, les plateformes digitales jouent un rôle prépondérant dans l’expansion internationale des entreprises. Ces plateformes, comme Alibaba ou Amazon, offrent une visibilité mondiale aux produits et services des entreprises. Elles permettent également de toucher un large public et de tester l’appétence des consommateurs pour les produits avant de se lancer dans une stratégie d’exportation plus coûteuse.

les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn peuvent être utilisés pour identifier et contacter des partenaires potentiels à l’étranger. Ces plateformes offrent également la possibilité de partager du contenu pertinent pour attirer l’attention des prospects et établir une relation de confiance avec eux.

les plateformes de veille concurrentielle et de surveillance du marché, comme SimilarWeb ou SEMrush, peuvent aider à identifier les tendances du marché, à analyser la concurrence et à adapter sa stratégie d’exportation en conséquence.

Comment démarrer l'import-export ? Fabien dessaint

Mathieu (Nancy) : « L’import et l’export de données, une opération délicate mais indispensable »

En tant que chef d’entreprise à Nancy, j’ai toujours été confronté à l’importation et l’exportation de données. J’ai dû apprendre à manipuler des outils comme R Data Import/Export, un manuel officiel en anglais qui m’a été d’une grande aide. Ce manuel, accessible à l’adresse http://cran.r-project.org/manuals.html, est une ressource précieuse pour comprendre les subtilités de l’import/export de données.

Importer des données est souvent l’une des premières opérations que l’on effectue lorsque l’on débute sous R, et ce n’est pas la moins compliquée. J’ai souvent dû demander de l’aide par les différents moyens disponibles pour ne pas me décourager. Un des points délicats pour l’importation de données dans R concerne le nom des variables. Pour être utilisables dans R ceux-ci doivent être à la fois courts et explicites, ce qui n’est pas toujours le cas dans d’autres applications.

Un autre aspect à prendre en compte est le répertoire de travail de R. Pour accéder à des fichiers situés sur le disque dur de notre ordinateur, il faut connaître le répertoire dans lequel R est actuellement en train de s’exécuter. Pour cela, on peut utiliser la fonction getwd(). Si on veut modifier le répertoire de travail, on utilise setwd en lui indiquant le chemin complet. Une fois le répertoire de travail fixé, on pourra accéder directement aux fichiers qui s’y trouvent, en spécifiant seulement leur nom.